Puberté : comment ? quel âge ? quelles conséquences pour l’animal et son propriétaire
La puberté correspond à l’âge d’apparition des premières chaleurs chez une femelle et à la production des premiers éjaculas chez le mâle
La puberté correspond à l’âge d’apparition des premières chaleurs chez une femelle et à la production des premiers éjaculas chez le mâle
L’herpès virus canin est un virus enveloppé, pouvant être transmis par voies transplacentaire, vénérienne (sperme, sécrétions vaginales) et oro-nasale.
Il s’agit donc d’une maladie sexuellement transmissible.
Les produits d’avortements (fœtus, enveloppes fœtales) peuvent être également des contaminants.
L’ordonnance 2015-1243 du 7 octobre 2015 donne une nouvelle définition de l’élevage canin ou félin.
Les objectifs du législateur sont : le respect du bien-être animal, la protection de l’acheteur d’un chiot ou d’un chat, la protection de l’environnement et éventuellement des personnels employés dans les structures d’une certaine importance.
Il s’agit d’une gastro-entérite sévère, très contagieuse, souvent mortelle, associée à une leucopénie marquée.
Maladie causée par le parvovirus féline (PVF), virus nu très résistant dans l’environnement (plusieurs mois).
La contamination se réalise par voie oro-nasale.
Le virus a un tropisme important pour les cellules à forte réplication (entérocytes, cellules de la moelle osseuse, cellules des organes lymphoïdes) : il provoque une nécrose cellulaire par apoptose, et donc une diarrhée sévère, une leucopénie et une déplétion lymphoïde.
Il s’agit d’une maladie respiratoire très contagieuse, fréquemment rencontrée chez le chien, en particulier jeune, présentant une morbidité importante mais une mortalité faible.
Les principaux agents étiologiques impliqués sont: Bordetella bronchiseptica, le virus Parainfluenza canin, l’adénovirus canin de type 2 (CAV-2), l’herpésvirus canin, et le réovirus canin.
La transmission est essentiellement par les aérosols. Il ne se s’agit pas d’un vice rédhibitoire.
Il s’agit d’une gastro-entérite hémorragique très contagieuse, avec des répercussions systémiques, causée par le parvovirus canin de type 2 (CPV-2), virus nu très résistant dans l’environnement (plusieurs mois).
A partir du virus sauvage CPV-2, 3 sous-types sont aujourd’hui isolés : CPV 2a, 2b et 2c.
La contamination se réalise par voie oro-fécale.
Son importance réside en plusieurs points :
Il s’agit d’un syndrome fréquemment rencontré chez le chat, en particulier jeune, provoquant des symptômes respiratoires, oculaires ou buccaux.
Les principaux agents étiologiques impliqués sont: l’herpesvirus félin de type 1, le calicivirus félin, Bordetella bronchiseptica et Chlamydophila felis . Les deux premiers cités sont responsables du syndrome coryza dans environ 80% des cas.